Au nom de JE SUIS CE QUE JE SUIS, de Jésus-Christ, j’appelle Maraytaïe, Mère Marie et toutes les représentantes de la Mère Divine pour que vous m’aidiez à laisser mon ancien sens du soi mourir afin de renaître spirituellement. Aidez-moi à accepter mes pouvoirs créateurs et à prendre conscience des facteurs qui bloquent le flux de ma créativité donnée par Dieu, et aussi… (ajouter vos demandes personnelles).
I. Je change mon sens du soi
1. J’accepte le défi de l’individualité et du libre arbitre. J’équilibre ma conscience en tant qu’être individuel et distinct avec ma conscience que je suis une expression du Tout de l’Être de Dieu.
Ô Mère cosmique, fais retentir le gong
Pour me faire revenir à la maison.
Je sais que tu m’aimes tendrement,
Et je suis libre en sachant cela.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
2. Le cœur même de mon être est mon sens du soi, mon sentiment d’identité.
Ô Mère cosmique, serre-moi fort,
Ta propre lumière brille en moi.
Ta musique purifie mon cœur,
Je transmets à tous ton amour.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
3. Mon sentiment d’identité n’est pas figé. Je prends le contrôle sur moi-même. Je change mon sens du soi selon ma vision la plus élevée.
Ô Mère cosmique, nous sommes un,
Ton cœur est comme un soleil ardent.
Mon être ne peut qu’amplifier
Le son sacré que tu émets.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
4. Je suis un être spirituel. Je suis entièrement libre de m’élever au-dessus de mon sentiment actuel d’identité, voire de m’élever au-dessus du sentiment d’identité avec lequel mon être individuel est né.
Ô Mère cosmique, j’entends désormais
Le son subtil de la sphère sacrée.
En harmonie avec le son cosmique,
Je surmonte le moi inférieur.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
5. Lorsque le Créateur m’a donné la conscience de soi, l’imagination et le libre arbitre, Il a créé un être qui n’a pas d’identité fixe et immuable. Je suis ce que je pense être, je suis ce que je me vois être. Je me vois comme un fils ou une fille de Dieu.
Ô Mère cosmique, ramène-moi à la maison,
Je suis en phase avec le son sacré OM,
Le son des sons m’élèvera,
Et seule la lumière brille en moi.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
6. Je change mon sentiment d’identité et je change ma conscience de soi en utilisant mon imagination et mon libre arbitre.
Ô Mère cosmique, je vais jouer
Une partie de la symphonie cosmique.
C’est que JE SUIS un instrument
Pour le son envoyé du ciel.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
7. Je laisse derrière moi le sentiment limité d’identité en tant qu’être humain et je revendique la véritable identité avec laquelle je suis né. Je m’appuie sur ce concept immaculé et je deviens plus que ce pour quoi j’ai été créé.
Ô Mère cosmique, je veux entrer
Dans la grande salle de musique sacrée.
Je ferai partie de l’ascension de la vie
Vers le firmament étoilé.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
8. Ma conscience de soi a deux aspects, à savoir la « conscience » et le « soi ». Ma conscience est le contenant de mon être et mon soi est le contenu du contenant de mon être individuel.
Ô Mère cosmique, accorde ma voix,
Mon être tout entier chante avec toi.
Ta mélodie résonne maintenant en moi
Alors que je célèbre l’amour cosmique.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
9. Ma conscience est indépendante du soi et ne dépend d’aucune forme. Elle peut exister en tant que conscience pure sans être focalisée sur ou à travers une individualité spécifique, et c’est cette conscience qui est le cœur même de l’Être de Dieu.
Ô Mère cosmique, je t’aime tant,
Ton chant me garde toujours fidèle.
Tu me remplis de ton amour sacré,
Et ainsi je ne me sens jamais seul.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
II. J’abandonne le moi séparé
1. Je change ma conscience de soi en changeant mon sens du soi, en changeant le contenu de mon contenant du soi.
Ô Mère cosmique, fais retentir le gong
Pour me faire revenir à la maison.
Je sais que tu m’aimes tendrement,
Et je suis libre en sachant cela.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
2. Le Soi conscient est ce qu’il pense être, ce qu’il se voit être. Quand je change ma conscience de soi, l’ancien moi, l’ancien sens du soi, meurt et n’est plus.
Ô Mère cosmique, serre-moi fort,
Ta propre lumière brille en moi.
Ta musique purifie mon cœur,
Je transmets à tous ton amour.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
3. Je déplace consciemment mon attention du contenu vers le contenant du soi. J’abandonne le sens du soi que j’ai créé dans ce monde et je redécouvre le sens immortel du soi conservé dans l’esprit du Christ.
Ô Mère cosmique, nous sommes un,
Ton cœur est comme un soleil ardent.
Mon être ne peut qu’amplifier
Le son sacré que tu émets.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
4. Je ne suis plus piégé dans le sens limité du soi que j’ai créé. Je récupère ma connexion consciente à ma Présence JE SUIS et je me souviens de ma véritable origine.
Ô Mère cosmique, j’entends désormais
Le son subtil de la sphère sacrée.
En harmonie avec le son cosmique,
Je surmonte le moi inférieur.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
5. Mon sens du soi est basé sur le fait que je suis une extension de ma Présence JE SUIS et que je suis éternellement connecté à elle. J’abandonne le sens du soi basé sur la séparation d’avec ma Présence JE SUIS.
Ô Mère cosmique, ramène-moi à la maison,
Je suis en phase avec le son sacré OM,
Le son des sons m’élèvera,
Et seule la lumière brille en moi.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
6. Je me vois comme un être spirituel connecté à quelque chose de plus grand que moi, je suis connecté à quelque chose au-delà du monde matériel.
Ô Mère cosmique, je vais jouer
Une partie de la symphonie cosmique.
C’est que JE SUIS un instrument
Pour le son envoyé du ciel.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
7. Ma Présence JE SUIS est l’aspect masculin de mon être total. Le Soi conscient, le sens du soi qui est descendu dans le monde matériel, est la polarité féminine de mon être total.
Ô Mère cosmique, je veux entrer
Dans la grande salle de musique sacrée.
Je ferai partie de l’ascension de la vie
Vers le firmament étoilé.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
8. Grâce à l’esprit du Christ, je m’élève au-dessus de la tentation de prendre la conscience de la dualité, la conscience du bien et du mal relatifs.
Ô Mère cosmique, accorde ma voix,
Mon être tout entier chante avec toi.
Ta mélodie résonne maintenant en moi
Alors que je célèbre l’amour cosmique.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
9. Le fait de prendre la conscience de la dualité a causé la mort de mon sens spirituel du soi. C’est le problème central dans ma vie et sur la planète Terre.
Ô Mère cosmique, je t’aime tant,
Ton chant me garde toujours fidèle.
Tu me remplis de ton amour sacré,
Et ainsi je ne me sens jamais seul.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
III. Je prends la conscience du Christ
1. Tous les nombreux problèmes spécifiques sur cette planète proviennent de la conscience du bien et du mal relatifs, la conscience de la dualité, qui pousse les êtres conscients de soi à créer leur propre définition de ce qui est bien ou mal, bon ou mauvais.
Ô Mère cosmique, fais retentir le gong
Pour me faire revenir à la maison.
Je sais que tu m’aimes tendrement,
Et je suis libre en sachant cela.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
2. Si chaque être humain a sa propre définition du bien et du mal, il est inévitable que les gens s’affrontent. Si chaque être humain définit le bien comme ce qui est bon pour son « moi », alors comment peut-il y avoir la paix et l’harmonie sur cette planète ?
Ô Mère cosmique, serre-moi fort,
Ta propre lumière brille en moi.
Ta musique purifie mon cœur,
Je transmets à tous ton amour.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
3. J’aide à créer une planète pacifique en m’élevant au-dessus de la conscience de la dualité. Ma définition du bien et du mal est la définition absolue de l’esprit du Christ, et j’aide à consumer les conflits et les guerres de cette planète.
Ô Mère cosmique, nous sommes un,
Ton cœur est comme un soleil ardent.
Mon être ne peut qu’amplifier
Le son sacré que tu émets.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
4. Je prends la conscience du Christ et j’ai la vie en moi.
Ô Mère cosmique, j’entends désormais
Le son subtil de la sphère sacrée.
En harmonie avec le son cosmique,
Je surmonte le moi inférieur.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
5. J’ai la vie spirituelle en moi parce que j’ai une portion de la conscience du Christ dans la sphère de mon sens du soi, dans le contenant du soi.
Ô Mère cosmique, ramène-moi à la maison,
Je suis en phase avec le son sacré OM,
Le son des sons m’élèvera,
Et seule la lumière brille en moi.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
6. Je prends une portion de la conscience du Christ. Je lui permets d’élever mon sens du soi, lui permettant de dissiper les ténèbres de l’antéchrist avec la lumière du Christ.
Ô Mère cosmique, je vais jouer
Une partie de la symphonie cosmique.
C’est que JE SUIS un instrument
Pour le son envoyé du ciel.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
7. Je retourne dans mon ancienne demeure et je m’accepte comme un fils ou une fille de Dieu.
Ô Mère cosmique, je veux entrer
Dans la grande salle de musique sacrée.
Je ferai partie de l’ascension de la vie
Vers le firmament étoilé.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
8. J’entre dans le royaume des cieux en naissant de nouveau. Mon sens spirituel du soi renaît et je retrouve ma véritable identité spirituelle.
Ô Mère cosmique, accorde ma voix,
Mon être tout entier chante avec toi.
Ta mélodie résonne maintenant en moi
Alors que je célèbre l’amour cosmique.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
9. Je revendique ma véritable identité qui est encore préservée en tant que concept immaculé dans l’esprit du Christ.
Ô Mère cosmique, je t’aime tant,
Ton chant me garde toujours fidèle.
Tu me remplis de ton amour sacré,
Et ainsi je ne me sens jamais seul.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
IV. Je renais dans un nouveau soi
1. Je retrouve ma véritable identité. Je retourne à mon ancienne demeure, je récupère mon héritage divin. Je suis le fils ou la fille prodigue qui retourne dans la maison de mon Père.
Ô Mère cosmique, fais retentir le gong
Pour me faire revenir à la maison.
Je sais que tu m’aimes tendrement,
Et je suis libre en sachant cela.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
2. Lorsque j’ai fait la transition d’un sens spirituel du soi à un sens dualiste du soi, d’un sens du soi basé sur le roc du Christ à un sens du soi basé sur les sables mouvants de l’antéchrist, mon sens spirituel du soi est mort.
Ô Mère cosmique, serre-moi fort,
Ta propre lumière brille en moi.
Ta musique purifie mon cœur,
Je transmets à tous ton amour.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
3. J’inverse cette direction et je retourne à mon sens spirituel du soi. Je laisse mourir le sens du soi basé sur la séparation. Je l’abandonne complètement.
Ô Mère cosmique, nous sommes un,
Ton cœur est comme un soleil ardent.
Mon être ne peut qu’amplifier
Le son sacré que tu émets.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
4. Je ne peux pas emporter le sens séparé du soi avec moi dans le royaume des cieux. Ce qui est né de la séparation ne peut jamais entrer dans l’unité, le moi mortel ne peut jamais saisir ni accepter la réalité de Dieu. Le sens du soi qui est basé sur la dualité, et la séparation ne peut jamais vaincre le sentiment d’être séparé de Dieu.
Ô Mère cosmique, j’entends désormais
Le son subtil de la sphère sacrée.
En harmonie avec le son cosmique,
Je surmonte le moi inférieur.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
5. Ce qui peut surmonter le sentiment de séparation, c’est le Soi conscient. Je remplace le contenu du contenant du soi par un nouveau sens du soi.
Ô Mère cosmique, ramène-moi à la maison,
Je suis en phase avec le son sacré OM,
Le son des sons m’élèvera,
Et seule la lumière brille en moi.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
6. Je permets à mon sens actuel du soi d’être brûlé par le feu dévorant de Dieu, le feu qui consume tout ce qui n’est pas comme Lui, consumant ainsi tout ce qui est né de la dualité et de l’esprit de l’antéchrist.
Ô Mère cosmique, je vais jouer
Une partie de la symphonie cosmique.
C’est que JE SUIS un instrument
Pour le son envoyé du ciel.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
7. J’ai la confiance inébranlable que cela ne signifiera pas la perte de ma conscience continue en tant qu’être distinct. Un nouveau sens du soi va naître.
Ô Mère cosmique, je veux entrer
Dans la grande salle de musique sacrée.
Je ferai partie de l’ascension de la vie
Vers le firmament étoilé.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
8. Mon sens spirituel du soi renaît, revient à la vie et s’élève au-dessus des cendres de l’ancien moi.
Ô Mère cosmique, accorde ma voix,
Mon être tout entier chante avec toi.
Ta mélodie résonne maintenant en moi
Alors que je célèbre l’amour cosmique.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
9. Je suis mon nouveau sens du soi basé sur l’empreinte divine conçue par Dieu. Je serai ce que je serai car JE SUIS PLUS.
Ô Mère cosmique, je t’aime tant,
Ton chant me garde toujours fidèle.
Tu me remplis de ton amour sacré,
Et ainsi je ne me sens jamais seul.
Maraytaïe, j’écoute le chant
Qui ouvre le portail cosmique.
Ta mélodie me fait vibrer
Pour recréer mon sens du soi.
Sceau final :
Au nom de la Mère Divine, je demande à Maraytaïe et à Mère Marie de me sceller, ainsi que toutes les personnes de mon cercle d’influence, dans le flux créateur de la Mère Divine, le Fleuve de Vie. Je demande la multiplication de mes appels par toutes les représentantes la Mère Divine afin que nous formions le flux parfait en huit de « comme en haut, ainsi en bas ». J’accepte donc que cela soit pleinement manifesté parce que la bouche du Seigneur, la Mère Divine que JE SUIS, l’a prononcé. Amen.